Actualités

Le saviez-vous ? Il existe une association de sages-femmes pour la Province du Luxembourg.

Dans un souhait de collaboration avec tous les autres professionnels de soins. elles souhaitent vous informer de leurs services de proximité, de disponibilité et de sécurité pour l’accompagnement des grossesses, du post-partum et du deuil périnatal. Les sages-femmes de l'asociation sont toutes conventionnées.

-         En Prénatal :

• Préparations à la naissance individuelles et/ou collectives
• Préparation au retour à domicile,  à la parentalité
• Accompagnement, soutien à domicile des mamans en menace d’accouchement prématuré
• Consultations prénatales à domicile avec prescription médicale pour le suivi des grossesses à hauts risques (monitorings)
• Massage relaxant à domicile et soutien des mamans alitées

-         En post-partum, intégralement remboursé par l’inami :

• Retour précoce à domicile (dès Jour 1 si préparé pendant la grossesse)
• Suivi du nouveau-né et du nourrisson
• Tous les retours à domicile afin que les parents aient une référence sage-femme comme c’est le cas dans toutes les autres provinces
• Accompagnement de la mère et l’enfant jusqu’à l’âge d’un an
• Accompagnement du deuil périnatal

Consulter le répertoire des sages-femmes indépendantes  pour la province de Luxembourg

Communication de Luxinfis

A partir du 01/12/2022, la nomenclature concernant les soins de plaies change pour les infirmiers de la 1ère ligne.

CONCRETEMENT :

SUPPRESSION DE LA PRESCRIPTION MEDICALE :

Selon la loi coordonnée du 10 mai 2015 + l’arrêté d’application (l’AR du 18 juin 1990) : 

-    Les actes B1 : Prestations ne requérant pas de prescription médicale 

• Les soins de plaie(s)
• Soins de plaie(s) avec mèches et drains

-    Les actes B2 : Prestations techniques de l’art infirmier requérant une prescription

•  Enlèvement de fils, de mèches et de drains

-    Les actes C : Acte pouvant être confiés par un médecin ou un dentiste, requérant une prescription

• Débridement des escarres de décubitus 

OBLIGATION POUR L’INFIRMIER DE COMMUNIQUER DE MANIÈRE SECURISEE AVEC LE MEDECIN ET/OU L’INFIRMIERE RELAIS EN SOIN DE PLAIE A INTERVALLES REGULIERS ET DEFINIS :

• Une communication en direction du/des médecin(s) impliqué(s) dans le soin de plaie doit être effectuée en début de traitement, càd endéans les 5 jours suivants le 1er pansement. 
• La photo + description de la plaie devront être ajoutées au dossier infirmier en début de soin et sont également mises à disposition du ou des médecins impliqués dans le soin de plaie.
•  Ensuite, une photo et suivi de la plaie sera transmise après maximum 14j
•  Enfin et si pas d’évolution ou évolution négative, les soins devront être évalués par un médecin (note manuscrite à l’appui) ou un infirmier relais soins de plaies toutes les 6 semaines maximum après le 1er jour de soin.
• Cette communication doit se faire de manière électronique (e-health box ou RSW) et être vérifiable en cas de contrôle (pas de notification orale ou par téléphone).
   

Luxinfis est à votre disposition pour toute information supplémentaire :
cercleinfirmier@luxinfis.be - www.luxinfis.be

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Les 22 et 23 novembre, près de 300 étudiants en médecine et assistants en médecine générale ont participé à plus de 20 ateliers thématiques différents. 

Cette 8e édition fut encore un grand succès. Grâce à cet évènement,  nous faisons connaitre à tous les jeunes ce qu'est la diversité du métier de médecin généraliste et à fortiori  la pratique de ce métier en milieu rural. 

Merci au près de cinquante animateurs qui ont transmis la passion de leur métier.

Cet évènement, créé en partenariat avec  la Province de Luxembourg, donne depuis 8 ans une image dynamique et passionnante de la médecine générale rurale.

Les places de ces journées partent chaque année en moins d'une heure, preuve de l'engouement des jeunes pour cette initiative. 

Le Département de Médecine Générale de L'ULiège a besoin de vous pour une nouvelle étude qui vise à déterminer la stratégie optimale d'arrêt du traitement chronique par inhibiteur de la pompe à protons (IPP) chez les patients en soins primaires. Cette étude, pour laquelle le département de médecine générale de l'université de Liège est partenaire, est financée par le KCE et est sous la supervision de l'UZ-Leuven (le Pr. Tack étant l'investigateur principal).

Ils sont à la recherche de médecins généralistes intéressés par le sujet pour participer à l'étude de faisabilité et au terme de cette étude de faisabilité, à l'étude qui débutera potentiellement en janvier.

Cette étude multicentrique est également une étude pragmatique, qui est ancrée et adaptée à la pratique quotidienne.

Actuellement, les IPP ont provoqué un changement de paradigme dans le traitement de l'ulcère gastroduodénal et du reflux gastro-œsophagien (RGO). Les cliniciens et les patients ont rapidement adopté les IPP, perçus comme efficaces et surs, avec une augmentation constante des prescriptions et de l'utilisation. Les IPP sont initialement utilisés à une dose élevée de "guérison", puis réduits à une faible dose "d'entretien" à plus long terme. Cependant, de plus en plus de preuves tentent de démontrer l'impact considérable des IPP sur le nombre croissant de risques et d'effets secondaires, l'impact sur la santé des patients et le budget des soins de santé. De plus, l'effet rebond rend difficile l'arrêt définitif de la prise d'IPP.

Dans cette étude, nous souhaitons tester l'impact de trois procédures (utilisation à la demande, traitements d'appoint et utilisation d'antiacides) pour arrêter la prise chronique des IPP chez les patients, en soins primaires.

Intéréssé ? Contactez la chargée de projet 

Voir l'invitation officielle

En 2021, le réseau Alto, Alternative aux toxicomanies asbl, s’est lancé dans un projet de sensibilisation et de formation à l’accompagnement de personnes consommatrices problématiques de boissons alcoolisées.  

E-learning

Dans un premier temps, nous avons travaillé, en lien avec le réseau ASAR BW et le VAD, sur le développement d’un e-learning, intitulé « Alcool. Parlons-en. ». Il est accessible depuis juin 2022 sur le site du SPF Santé publique. Cet e-learning alterne entre contenu théorique et vidéos, et aborde largement la problématique (de la détection au traitement médicamenteux). Il est accrédité pour les médecins généralistes.

Voir l'e-learning

Module de formation

Dans un second temps, et en complémentarité à ce cours en ligne, le réseau a construit un module de formation pratique de 6 heures à destination des médecins généralistes actifs en région wallonne. Quatre thématiques y sont approfondies : la détection précoce, la première rencontre (le langage utilisé et l’intervention brève), la construction et le maintien du lien thérapeutique (l’entretien motivationnel et l’accompagnement), le travail en réseau.  

Le caractère innovant du module doit être souligné. Des méthodes d’animation spécifiques ont été pensées pour mettre en pratique les outils et réfléchir ensemble à un accompagnement adéquat du patient. La dynamique de groupe sera mise en avant. Les apprenants repartiront avec des outils et une acquisition de compétences pratiques à répercuter dans leur travail au quotidien.  

Dans chaque province, un binôme médecin généraliste – psychologue assurera une séance de six heures ou deux séances de trois heures. Les places seront limitées pour favoriser les échanges.

L’accréditation est demandée pour les médecins généralistes. Le seul pré-requis pour la formation pratique est le suivi de l’e-learning (+- 1h30). 

Toutes les dates seront progressivement publiées sur le site Internet www.reseaualto.be

Restez connectés et n’hésitez pas à prendre contact avec Lindsay Hooghe, coordinatrice du réseau Alto, au 0479/64.49.72 ou à l’adresse reseau.alto@gmail.com .  

Le débat sur le temps de travail " normal " des MG est ouvert. La cellule de planification du SPF Santé publique vient de lancer une étude visant à améliorer l'estimation d'un équivalent temps plein (ETP) des médecins généralistes ayant un statut professionnel indépendant en Belgique. Cette étude représente un 1er pas vers une optimisation du modèle de planification du nombre de médecins.

Pour participer à cette étude, il vous suffit de répondre à ce questionnaire (jusqu’au 24/10/22). Celui-ci vise à recueillir un maximum d’informations sur les éléments les plus pertinents rentrant en compte dans le travail d’un médecin et dans l’estimation de ce que représente un équivalent temps plein pour un médecin en Belgique. À la demande du Cabinet du ministre de la Santé publique, ce questionnaire permettra également de connaitre l’impact de certains évènements sur la charge de travail des médecins en Belgique (ex. : effets de la crise COVID-19).

Temps estimé : 45 minutes, possibilité de le remplir en fractionné.

Répondre au questionnaire

Nous fêtons cette année les 10 ans de l'asbl PMGLD. 

A cette occasion, nous serions heureux d’avoir l'avis des médecins généralistes travaillant dans ces postes de garde. Nous lançons donc une enquête à votre attention pour nous assurer que nous sommes toujours bien en adéquation avec la philosophie du début : l’organisation d’une garde efficiente. 

Si le service à la population est aussi dans nos missions, il est essentiel pour mener à bien cette dernière que les PMG  puissent avant tout vous servir au mieux.

Répondre à l'enquête de satisfaction

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Santé Ardenne a répondu cette année à un appel à projets du Fonds Daniel De Coninck, géré par la Fondation Roi Baudouin, sur le bien-être du travailleur de la première ligne de soins. 

Durant la crise Covid-19, les médecins généralistes ont joué un rôle indispensable de santé publique : assimiler
et expliquer des procédures, tracer les HRC de leurs patients, délivrer des certificats, pallier les absences de collègues malades, etc. Tout cela a pu engendrer surmenage et conflits de valeurs.

Au fait de cette réalité, Santé Ardenne a voulu prendre soin des médecins, en proposant la création
d’espaces d’échange, de partage.

Une animation autour du bien-être du médecin généraliste, encadrée par un psychologue, est proposée à l’ensemble des glems.

La création d’un groupe d’échange et de partage en dehors d’un glem est également en place pour les généralistes qui le souhaitent.

N'hésitez pas à nous contacter : 

a.dominicy@santeardenne.be

063/330.031

L’activité physique adaptée (APA) est apparue au Québec dans les années 70. Elle est aujourd’hui plus que jamais recommandée dans la prévention et le traitement de très nombreuses maladies chroniques.  Le projet Chronilux a comme objectif général de viser à développer des soins et un soutien de haute qualité pour les patients présentant une ou plusieurs maladies chroniques ainsi que des facteurs de risque pouvant mener à celles-ci. Son action « ChroniActiv’ » consiste à développer l’APA en province du Luxembourg.

Le médecin traitant joue un rôle central dans ce dispositif. Il est au cœur du suivi du patient et valide les différentes étapes clés du parcours en lien avec les professionnels de l’activité physique. 

Qu’est-ce que l’APA exactement ? 
 

L’APA fait référence au mouvement et à l’activité physique, qui tiennent compte des capacités de l’individu. Elle doit être pédagogique, préventive, thérapeutique, motivationnelle et se baser sur les besoins spécifiques de toute personne qui ne peut la pratiquer dans des conditions dites ordinaires. 

La démarche commence par une évaluation physique et motivationnelle. La qualité de vie, la force, l’endurance, la souplesse, l’équilibre et l’état de santé général du participant sont ainsi mesurés lors d’une séance individuelle. Il est important également de connaitre les traitements et les symptômes liés à la pathologie du participant. 

Pour qui ? 

Toutes personnes : 

• Fragiles 
• Présentant une ou plusieurs maladies chroniques ou des facteurs de risque pouvant mener à celles-ci
• En situation de handicap (personnes âgées, en difficulté d’insertion sociale) 
• Sédentaires, n’ayant jamais pratiqué d’activité physique et voulant s’y mettre en toute sécurité. 

Par qui ? 

Tous les professionnels intervenant dans le dispositif sont formés à la prise en charge de malades chroniques. Ils sont en capacité de réaliser des bilans fonctionnels et des accompagnements spécifiques adaptés aux besoins des participants. Ils répondent aux questions et encouragent les participants dans leur démarche.
 

Le réseau ChroniActiv’

En l’espace de seulement quelques mois, 18 partenariats ont vu le jour permettant la création de 22 dispositifs ChroniActiv’ sur l’ensemble de la province du Luxembourg.

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